ORIENTATION SECONDE GÉNÉRALE RENTRÉE 2020

Nous relayons l’information suivant déposé sur ItsLearning :

Le Lycée F. Tristan est le  lycée de priorité 1 pour les élèves de Saint Exupéry admis à passer en seconde générale par le conseil de classe du 3è trimestre.

L’équipe de direction du lycée invite les parents du collège à une réunion d’information le Vendredi 6 mars de 18h30 à 19h15 au lycée, 27 rue des Hauts Roseaux à Noisy Le Grand, de 18h30 à 19h15.

La présence de tous est fortement recommandée pour préparer au mieux l’orientation de votre enfant.

MP LEIGNEL

Courrier adressé au département

Bonjour chers parents,

Nous avons adressé un courrier au département concernant :

  • l’urgence des travaux d’entretien pour luter contre l’état vétuste du collège
  • la suspension des travaux des toilettes
  • la montée des effectifs et ses conséquences

Veuillez trouver ici le courrier.

Les tarifs de restauration du 1er janvier 2020

Identification
de la tranche
quotient familial Tarif par repas
A De 0 à 250 0,31 €
B De 251 à 350 0,53 €
C De 351 à 460 0,83 €
D De 461 à 580 1,25 €
E De 581 à 700 1,71 €
F De 701 à 800 2,18 €
G De 801 à 950 2,49 €
H De 951 à 1 100 2,94 €
I De 1 101 à 1 300 3,34 €
J De 1 301 à 1 600 4,05 €
K De 1 601 à 2 000 4,56 €
L De 2 001 à 2 500 5,06 €
M Au-dessus de 2 500 5,57 €
Mbis pas de justificatifs de ressources 5,57 €

Tarif au ticket : 6,10 €

Violences scolaires : une circulaire pour redynamiser les dispositifs partenariaux sur les territoires

Publié le 8 novembre 2019 par Frédéric Fortin

Dans le cadre du plan Blanquer contre les violences scolaires présenté à la dernière rentrée, une circulaire enjoint académies, établissements scolaires, parquets et forces de sécurité à redynamiser leur partenariat. Le texte invite également les procureurs à la sévérité.

Près de 340 « incidents graves » ont été déclarés chaque jour en France par les chefs d’établissement des seuls collèges et lycées publics durant l’année scolaire 2017-2018 (voir encadré ci-dessous). Un phénomène en pleine expansion, à en croire la circulaire conjointe des ministres de la Justice, de l’Intérieur, de l’Education nationale et de l’Agriculture relative à la lutte contre les violences scolaires qui vient d’être publiée. Le texte daté du 11 octobre fait état de « la multiplication, depuis l’automne 2018, d’actes d’une particulière violence, parfois accompagnés d’exhibition d’armes factices ou réelles, tant à l’encontre de personnels enseignants qu’entre élèves ». Annoncée lors de la présentation du plan de lutte contre les violences scolaires le 27 août dernier, cette circulaire vise en particulier à « redynamiser » les dispositifs partenariaux « mis en place de manière hétérogène sur le territoire » entre services de l’Education nationale, autorité judiciaire, forces de l’ordre et… collectivités territoriales, qui ne sont toutefois ici que très indirectement évoquées.

Renforcer la coordination

Dans le cadre du plan Blanquer, une convention Éducation nationale-Justice-Intérieur-Agriculture et Alimentation devait être établie dès la rentrée 2019 dans chaque département, pour « préciser les rôles et responsabilités de chacun, assurer un signalement et un traitement rapides des infractions les plus graves, mieux articuler les sanctions judiciaires et éducatives ». Des conventions dont, souligne la circulaire, « la préparation comme la mise en œuvre permettent de nouer une relation de confiance entre partenaires, notamment grâce à une meilleure identification des acteurs ». Il est vrai que ces derniers sont nombreux. Les ministres rappellent ainsi que des référents « violences scolaires » doivent être désignés dans chaque département par les directeurs académiques des services de l’Education nationale (Dasen), mais aussi dans chaque juridiction, dans chaque établissement scolaire et dans chaque service de police ou de gendarmerie nationales. Un référent « quartier de reconquête républicaine » – qui par ailleurs « devra spécifiquement faire l’objet d’actions de sécurisation aux abords des établissements » – devra en outre être désigné dans les unités et services des forces de sécurité, avec pour objectif d’adapter le dispositif de sécurité au contexte local, « en lien très étroit » avec les chefs d’établissement qui seront « désormais présents dans chaque conseil de secteur ».

Cette coordination de l’ensemble de services devra également être déclinée localement au sein des instances partenariales existantes, telles que les conseils intercommunaux/locaux de sécurité et de prévention de la délinquance (CI/LSPD), les groupes locaux de traitement de la délinquance (GLTD) ou les cellules de coordination opérationnelle des forces de sécurité intérieure (CCOFSI). Les Dasen sont par ailleurs invités à veiller à une meilleure représentativité des établissements scolaires au sein de ces instances. Il est demandé aux préfets et procureurs de consacrer annuellement une réunion de l’état-major de sécurité au thème de la violence dans les établissements scolaires, incluant ceux sous tutelle du ministère de l’Agriculture.

Enfin, des partenariats devront également être proposés à l’enseignement privé, notamment avec les directions diocésaines de l’enseignement catholique, et pourront également être mis en œuvre au niveau de chaque direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (ou DAAF le cas échéant), autorité académique régionale des établissements publics d’enseignement agricole.

Des conventions concrètes

La vocation pédagogique de ces conventions est soulignée. Leur réactualisation doit être ainsi l’occasion de préciser les modalités pratiques de signalement d’une infraction pénale ou d’un dépôt de plainte… mais aussi de rappeler que tout fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en aviser sans délai le procureur de la République. Des modèles types de signalement pourront ainsi y être « utilement » annexés. Les conventions devront en outre préciser l’articulation entre réponse disciplinaire – que deux décrets ont récemment renforcée – et judiciaire, notamment par l’identification des critères d’information du procureur, de dépôt de plainte auprès des services d’enquête et de détermination des éléments utiles à transmettre.

Les chefs d’établissement sont invités à informer l’autorité judiciaire des éventuels antécédents disciplinaires des mis en cause. De leur côté, les procureurs de la République veilleront au retour d’information sur les suites réservées aux faits signalés par l’Education nationale. Les conventions pourront ainsi rappeler les obligations incombant en la matière aux magistrats et prévoir le déplacement trimestriel du référent justice de l’Education nationale au bureau d’ordre du parquet ou le fait de dédier une adresse mail à ces demandes d’informations.

Invitation à la sévérité

Si « toute décision prise à l’égard d’un mineur devra tendre à assurer son relèvement éducatif et personnel en privilégiant les réponses à dimension pédagogique », les parquets « veilleront à recourir à la circonstance aggravante » lorsque la victime a la qualité de « personne chargée d’une mission de service public » et lorsque les faits sont commis dans un établissement scolaire ou aux abords de ce dernier. Pour les faits d’une particulière gravité, une présentation systématique des auteurs au tribunal, dans le cadre de procédures rapides, devra être privilégiée. Pour les faits les moins graves (justifiant tout de même une réponse pénale !) commis par des mineurs, une réponse à visée éducative devra être mise en œuvre « par des professionnels spécifiquement formés », privilégiant mesures de réparation ou travail d’intérêt général en milieu scolaire, complétés le cas échéant par des stages de citoyenneté, en se rapprochant des services de protection judiciaire de la jeunesse.

Par ailleurs, s’agissant des agressions sur les personnels de l’Education nationale, autorité judiciaire et forces de l’ordre veilleront à ce que la dénonciation des faits soit « systématiquement complétée d’une plainte déposée par la victime et de son examen médical, afin de déterminer une éventuelle capacité de travail ».

Des victimes prises en charge… et indemnisées

Les élèves victimes devront bénéficier d’un accompagnement immédiat, qui pourra s’inscrire dans le cadre des dispositifs d’aide aux victimes œuvrant dans les commissariats de police et brigades de gendarmerie ou dans les dispositifs de médiation mis en place dans certains établissements scolaires, en partenariat avec les forces de sécurité. Dans tous les cas, les modalités devront être définies en liaison étroite avec les procureurs.

En outre, les circuits d’indemnisation des victimes – y compris les établissements scolaires – devront être rappelés et utilisés, en s’assurant de l’effectivité des avis à victime et des avis d’audience à l’agent judiciaire de l’État pour le recouvrement des créances de l’État. Et la circulaire de rappeler que le principe de responsabilité des parents du fait de leur enfant mineur permet au chef d’établissement, lorsque les biens ont fait l’objet de dégradations, d’émettre un ordre de recette.

Quelques chiffres

La dernière enquête Sivis indique que les chefs d’établissement du second degré public ont déclaré en moyenne 13,4 incidents graves pour 1.000 élèves au cours de l’année scolaire 2017-2018 (le nombre atteint 22,3 dans les lycées professionnels). Le ministère de l’Education nationale recensant 4.436.900 élèves du second degré dans le secteur public (L’éducation en chiffres – 2018), et avec environ 175 jours scolaires ouvrés, on peut en déduire ce nombre – très approximatif – d’incidents graves journaliers.

La France n’est pas la seule touchée par le phénomène. D’après l’enquête Talis 2018 de l’OCDE publiée récemment, « les déclarations [des chefs d’établissement] d’incidents réguliers liés à des actes d’intimidation ou de harcèlement entre les élèves […] surviennent au moins une fois par semaine dans 14% des établissements en moyenne dans les pays de l’OCDE ». Pour la France, dans le peloton de tête, l’enquête fait état d’un taux de 27,2% (il était de 21,2% lors de la précédente édition de 2013). « C’est un sujet de préoccupation […] étant donné l’impact persistant de l’intimidation et du harcèlement sur le bien-être, la confiance et la réussite des élèves qui en sont victimes, ainsi que des conséquence potentiellement dramatiques », souligne-t-elle.

L’enquête relève par ailleurs que « 3% des établissements [sont] confrontés au moins une fois par semaine à des problèmes d’intimidation ou d’agression verbale envers des enseignants ou des membres du personnel ». En ce domaine, la situation de la France se situe dans la moyenne, sans évolution par rapport à 2013. À noter toutefois que la circulaire fait état d’une « multiplication, depuis l’automne 2018, d’actes d’une particulière violence, parfois accompagnés d’exhibition d’armes factices ou réelles, tant à l’encontre de personnels enseignants qu’entre élèves ».

Covoiturage et pédibus

Chers parents du collège Saint-Exupéry,

Avec la poursuite de la grève dans les transports, afin d’aider les collégiens à venir au collège, nous vous proposons de vous mettre en relation par quartier dans le but de faire du covoiturage ou du pédibus.

En remplissant le formulaire ci-après nous serons en mesure de vous adresser par quartier un fichier avec les cordonnées des demandeurs et ceux proposant leurs services.

Il vous restera à entrer en contact avec les parents du fichier par quartier.

Cliquez ici

Brevet 2020 : Dates et informations

Les épreuves du brevet des collèges auront lieu les lundi 29 et mardi 30 juin.

Lundi 29 juin
9h-10h30 : Français (grammaire et compétences linguistiques – compréhension et compétences d’interprétation – dictée)
10h45-12h15 : Français (rédaction)
14h30-16h30 : Mathématiques

Mardi 30 juin
9h-11h : Histoire-géographie et enseignement moral et civique
13h30-14h30 : Sciences (physique-chimie et/ou sciences de la vie et la Terre et/ou technologie ( Deux disciplines sur les trois ))
15h-16h30 : Langue vivante étrangère

La session de remplacement :

Lundi 14 septembre
9h-10h30 et 10h45-12h15 : Français
14h30-16h30 : Mathématiques

Mardi 15 septembre 
9h-11h : Histoire-géographie et enseignement moral et civique
13h30-14h30 : Sciences
15h-16h30 : Langue vivante étrangère

Source : https://www.education.gouv.fr/cid2619/le-diplome-national-du-brevet.html

Explication des changements d’horaire.

Le changement d’horaire est lié à de nombreux éléments combinés :

Document à la date du 01/07/2019

1- La possibilité laissée aux élèves de choisir différents cursus ou options

Les options sont attrayantes pour le collège et constituent un réel apport de connaissances pour les élèves.

Remarques : les heures des groupes de besoins sont disposées sur les 2 semaines suivant les possibilités.

Le tableau indique une fourchette d’heures par semaine

Les plannings 2018-2019 comportent : 7h x 4 jours + 4h le mercredi = 32h.

Si à l’heure actuelle, il y a peu d’élèves qui cumulent les options, le cumul

  • latin + Allemand bilangue ou allemand LV2
  • euro + Allemand bilangue ou allemand LV2

complexifie les plannings car il n’y a qu’un seul professeur de latin et qu’un seul professeur d’allemand.

La direction signale qu’il n’est pas possible de mettre l’option latin seulement de 17h à 18h (horaires 2018-2019). Cela ne permet de n’avoir que 4h de cours de latin alors qu’il en faut 10h30.

L’augmentation des plages horaires du collège avait déjà été débattue les années précédentes lors de la mise en place de la classe euro mais surtout lors de la mise en place de « devoirs faits » et avait pu être évitée jusque là.

Les options sont attrayantes pour le collège et constituent un réel apport de connaissances pour les élèves.

2- Conserver des groupes de besoins par niveau

La réforme du collège oblige les collèges à la mise en place des groupes de besoin. Ils sont changés à chaques vacances afin de s’adapter au mieux aux élèves. Ce que ne font pas tous les collèges. Il y a 2 groupes : l’un travaille ses difficultés, l’autre approfondit les sujets.

La direction signale que ce n’est pas toujours possible de faire coïncider les groupes de besoins de deux matières. Il faut se mettre dans le cas le plus défavorable: un groupe est en cours pendant que l’autre groupe est en perm.

3- La hausse des effectifs et la capacité en nombre de salles du collège

La réalisation des plannings est aussi complexifiée par l’augmentation des effectifs, importante pour la rentrée septembre 2019.

L’année dernière 2018-2019 : 592 élèves (hors la classe ULIS et la classe UPEAA)

Cette année 2019-2020: 673 élèves (hors la classe ULIS (14) et la classe UPEAA (10))

Soit une augmentation de 114%.

Il y aura donc 25 classes + ULIS + UPEAA = 27 classes pour un collège comprenant 28 salles de classes (26 + 2 classes modulaires + une salle informatique).

Alertée par ces chiffres, la FCPE du collège a contacté le vice-président du département en charge de l’éducation afin de demander un agrandissement du collège en lien avec cette hausse des effectifs.

Voilà les principaux éléments à notre connaissance au sujet  de ces changements d’horaires.

Chers parents, soyez assurés que l’équipe FCPE du collège veillera à l’impact de ces modifications sur la qualité de vie au collège de nos enfants.

Par exemple :

– Qu’un élève commençant tôt ne finisse pas toujours au plus tard

– Que les élèves de 6e commençant tôt ne déjeunent pas au dernier service

Nous veillerons à la quantité et à la répartition des heures de permanences.

Nous poursuivrons nos efforts auprès de la direction afin que des solutions pérennes puissent être trouvées pour remédier à cette situation, car nous sommes persuadés que l’allongement des journées n’est pas favorable au travail des élèves et à l’ambiance au collège.